Chez Contrebandes

On ne peut pas dire qu’on soit en manque d’auteurs, sur l’aire toulonhyéroise (je vous ai déjà expliqué : c’est MON blog, j’invente des mots si je veux), ces temps-ci … Et il y en a pour tous les goûts ! Samedi dernier, Olivier Tallec et Charlotte Moundlic à la Soupe de l’espace, après-demain (15 septembre), Contrebandes accueille Anthony Pastor pour une séance de dédicaces, suivie en début de soirée par le vernissage de son exposition (à voir jusqu’au 20). Il signera à cette occasion les premiers tirages numériques de Castilla drive.

Et puis, le 22 septembre, une rencontre au sommet qui promet d’être palpitante, entre Francesco de Filippo et son traducteur Serge Quadruppani (qui est aussi auteur, co-initiateur de la série policière atypique « Le Poulpe », par exemple, directeur de collection, journaliste …) devant lequel je suis en totale admiration : il traduit également une grande partie de l’oeuvre d’Andrea Camilleri (j’adore), pour lequel il a du inventer une langue, Camilleri mélangeant italien et dialectes siciliens très largement. Et franchement, chapeau bas ! Après m’être repue tant et plus des aventures du commissaire Montalbano dans leur version traduite par Monsieur Quadruppani, j’ai entrepris de lire les romans encore inédits en France en V.O., et tout y est, alors que c’était un sacré challenge – et que d’autres traducteurs du même auteur ont moins bien réussi  (non, je ne citerai pas de nom, je ne suis pas celle que vous croyez)

Bref, qu’on soit fan de BD, de polars, des deux mon général, on a tout intérêt à prévoir un petit tour chez Contrebandes ces prochains week-ends (vous avez aussi tout à gagner à y aller en semaine, l’un n’empêchant pas l’autre, comme de bien entendu 😀 !) !

2 Plusieurs commentaires à “Chez Contrebandes”

  1. Paola dit :

    Je me prépare en révisant mon italien. (Si tu passes je te Les présente)

  2. […] Le lendemain, samedi 22, donc, rencontre/signature à la librairie (37 rue Paul Lendrin) avec les deux auteurs dès 14h. Je vous en avais déjà touché un mot ici. […]

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