Archive pour septembre, 2010

Le petit plus …

… pour les fans d’Aurélia Grandin, cette superbe repro en édition limitée signée et numérotée, pour Mon petit art (76 euros) :

Et (toujours très prosaïque mais difficile de faire autrement), les oeuvres originales d’Aurélia exposées en ce moment chez La Fiancée sont vendues entre 100 et 600 euros. Bien entendu, pour les craquages pas raisonnables (je déteste ce mot), un paiement en plusieurs fois sans frais est tout à fait envisageable 🙂 !

Tentations diverses … et variées !

Difficile de me concentrer sur autre chose que l’expo d’Aurélia, qui illumine mon environnement (c’est bien pratique d’avoir la vue sur son autre chez-soi !), mais tellement de jolies choses sont venues orner la boutique que je me dois de vous en faire profiter aussi ! Par exemple, une sélection de bijoux de Lucie Saint-Leu, dont voici quelques exemples …

Des boucles de corail assorties à un collier sublime, mais aussi des plumes en colliers et boucles d’oreilles, des colliers oiseaux et des boucles hirondelles ou pistolet de Calamity Jane, que je vous avais déjà montrés, pour certains, ici

Et puis, dans un autre style mais tout aussi ravissantes, des broches et des bagues Mes p’tites folies, à prix très doux (de 14 à 22 euros) comme la feutrine sur laquelle sont montées les images choisies.

Que vous soyez dans votre période asiatisante ou rétro, vous trouverez forcément votre bonheur, d’autant qu’il me reste aussi des barrettes pour compléter la parure – de 11 à 17 euros – (et j’ai aussi des boucles d’oreilles cachées dans ma boîte magique, n’hésitez pas à me les faire sortir !)

Pour finir, et puisqu’on en est aux choses douces, de nouveaux coussins en velours des Touristes (39 euros) et du réassort d’étoles légères mais chaudes juste ce qu’il faut pour couvrir nos petites gorges fragiles en ces matins frileux (25 euros).

J’ai écrit « pour finir » ? Ah, dommage … Alors je ne vous montre pas les mignonnes boucles coussinets que nous a concoctées Zanzibazar (20 euros, d’autres coloris sont dispo, et j’ai même une paire montée sur clips) … Vous insistez ? Bon, ok alors, mais après c’est tout pour aujourd’hui 🙂 !

Et voilà … Aurélia !

Attention, Mesdames et Messieurs, le spectacle va commencer ! N’entendez-vous pas déjà les roulements de tambour et l’orchestre tzigane qui affute ses instruments ? A moins que ce soit la Complainte du marin entonnée par Lulu la Nantaise ou l’une des chansons des Ogres de Barback …

Elle est tout ça à la fois, Aurélia Grandin. Passionnée de brocante et de puces, où l’on peut glaner tout plein de petits trésors à recycler, sans doute en raison de son enfance passée à Saint-Ouen, dans les cafés duquel elle s’est aussi nourrie de jazz manouche et de musique guinguette.

Et maintenant elle vit en Finistère, le pays où, c’est bien connu, « c’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme » …

Entretemps, elle a fait l’Ecole Estienne, où elle a appris la gravure sur cuivre et s’est perfectionnée en peinture, et puis elle a fait le clown, beaucoup, mais pour de vrai. Elle a aussi fabriqué ses propres marionnettes et créé des décors de spectacles, pour elle-même ou les autres. Et le spectacle, c’est son truc, à Aurélia. Même qu’elle fait les pochettes des Ogres de Barback depuis leurs débuts, et même qu’elle leur a peint une grosse caisse !

Et puis (c’est comme ça que je l’ai connue), elle a écrit et illustré nombre d’albums dont j’adore la poésie pompière, et le dernier, « Le jardin en chantier », chez Actes sud Junior, a déjà fait couler beaucoup d’encre.

Vous imaginerez donc sans peine l’état dans lequel j’étais lorsque j’ai ouvert la malle aux trésors reçue ces jours-ci ! Toutes sortes de merveilles à l’intérieur : des peintures et collages sur papier, des gravures, des peintures sur toile de lin et/ou sur toile à matelas dont celle-ci, qui m’a littéralement subjuguée,

mais aussi des oeuvres très fortes sur de vieux sacs de jute (sacs à voiles, sacs de terre-neuvas ? Eh non, sacs de café !),

et tout plein de peintures belles et étranges qui, c’est certain, ne créeront pas de consensus mou, et c’est tant mieux !

Bon, bien sûr, je ne vous ai pas mis toutes les photos !

Le plus simple serait que vous veniez admirer tout cela par vous-mêmes, et pourquoi ne pas échanger vos impressions samedi soir dès 19h, un verre à la main ? Il y aura peut-être du roulis en fin de soirée pour certains, qui auront (on va dire ça) trop fixé les sirènes androgynes, princesses écuyères, marins tatoués et … artichauts bretons de cette fabuleuse saltimbanque qu’est Aurélia Grandin !

The place to be today

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