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La presse parle d’Aurélia

Un bel article de Jean-Pierre Cousin pour La Marseillaise qui, je l’espère, vous donnera envie de (re)faire un tour dans la galerie ! De nombreuses oeuvres d’Aurélia Grandin sont encore disponibles : pour les (re)voir, c’est ici !

Pas besoin de chercher votre loupe, en cliquant plusieurs fois sur l’image vous parviendrez à obtenir une taille de caractères lisible 🙂 !

Aurélia, le catalogue #2

Bon, je fais tout dans le désordre, ces temps-ci 🙂 ! Je réalise, honteuse,  que je n’ai pas procédé à la présentation officielle d’Aurélia Grandin, pour ceux qui ne connaîtraient pas encore son travail. Plutôt que de m’y coller maintenant, je vous invite à aller réviser ici, pendant ce temps je continue à vous présenter la suite des oeuvres exposées. Cette fois, un mix de techniques … et des prix très variés !

12 : technique mixte, 23,5 x 30,5 cm, 300 euros

13 : technique mixte, 18,5 x 21,5 cm, 130 euros

14 : peinture sur papier, 24,5 x 26 cm, 60 euros

15 : peinture sur toile, 24,5 x 26 cm, 200 euros

16 : technique mixte, 16 x 21 cm (cadre compris), 150 euros

17 : Technique mixte, 33 x 46 cm, 280 euros

18 : Technique mixte, 23 x 24,5 cm, 200 euros (VENDU)

19 : Technique mixte, 23,5 x 32 cm, 150 euros

20 : Technique mixte, 23,5 x 32 cm, 170 euros

21 : Technique mixte, 10 x 13,5 cm, 75 euros

22 : Peinture sur toile, 25 x 29 cm, 70 euros

Aurélia, le catalogue #1

Enfin, le voilà 🙂 ! Vous n’aurez pas patienté pour rien, préparez vos mirettes au choc visuel ! L’exposition d’Aurélia Grandin chez la Fiancée s’avère d’une richesse incroyable, vous pourrez y découvrir tout autant de superbes gravures (la spécialité de Mademoiselle Aurélia à l’Ecole Estienne, si je me souviens bien), que des illustrations de Requin Baleine (texte d’Alex Cousseau, Ed. Oskar, 2011), des collages comme elle sait si bien les composer, mais aussi  d’incroyables toiles-fresques réalisées spécialement pour l’expo, qui représentent je ne sais combien d’heures de travail (la dame effectue un genre de tannage par couches de peintures superposées et fixées au fer à repasser – si si – avant d’attaquer l’image en elle-même). Il y a de la joie dans tout ça, mais aussi du mystère, de la passion, le son d’une java ou d’une corne de brume, et puis du merveilleux, l’enfance avec son monde étrange et sophistiqué, bref, la vie, la Vie !!! On commence par les toutes nouvelles toiles :

1 : Peinture sur toile de lin, 58 x 90 cm, 2000 euros (VENDUE)

2 : Peinture sur toile de lin, 112 x 57 cm, 2000 euros

3 : Peinture sur toile de lin, collages, 57x58 cm, 600 euros

4 : Peinture sur toile de lin, 57 x 57 cm, 1000 euros

5 : Peinture sur toile de lin, 59 x 57 cm, 450 euros (VENDUE)

6 : Peinture sur toile de lin, 62 x 62 cm, 800 euros

7 : Peinture sur toile de lin, 78 x 49 cm, 450 euros

8 : Peinture sur toile de lin, 42 x 55 cm, 450 euros

9 : Peinture sur toile de lin, 62 x 62 cm, 450 euros

10 : Peinture sur toile de lin, 50 x 100 cm, 800 euros

11 : Peinture sur toile de lin, 50 x 106 cm, 1300 euros

Et voilà … Aurélia !

Attention, Mesdames et Messieurs, le spectacle va commencer ! N’entendez-vous pas déjà les roulements de tambour et l’orchestre tzigane qui affute ses instruments ? A moins que ce soit la Complainte du marin entonnée par Lulu la Nantaise ou l’une des chansons des Ogres de Barback …

Elle est tout ça à la fois, Aurélia Grandin. Passionnée de brocante et de puces, où l’on peut glaner tout plein de petits trésors à recycler, sans doute en raison de son enfance passée à Saint-Ouen, dans les cafés duquel elle s’est aussi nourrie de jazz manouche et de musique guinguette.

Et maintenant elle vit en Finistère, le pays où, c’est bien connu, « c’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme » …

Entretemps, elle a fait l’Ecole Estienne, où elle a appris la gravure sur cuivre et s’est perfectionnée en peinture, et puis elle a fait le clown, beaucoup, mais pour de vrai. Elle a aussi fabriqué ses propres marionnettes et créé des décors de spectacles, pour elle-même ou les autres. Et le spectacle, c’est son truc, à Aurélia. Même qu’elle fait les pochettes des Ogres de Barback depuis leurs débuts, et même qu’elle leur a peint une grosse caisse !

Et puis (c’est comme ça que je l’ai connue), elle a écrit et illustré nombre d’albums dont j’adore la poésie pompière, et le dernier, « Le jardin en chantier », chez Actes sud Junior, a déjà fait couler beaucoup d’encre.

Vous imaginerez donc sans peine l’état dans lequel j’étais lorsque j’ai ouvert la malle aux trésors reçue ces jours-ci ! Toutes sortes de merveilles à l’intérieur : des peintures et collages sur papier, des gravures, des peintures sur toile de lin et/ou sur toile à matelas dont celle-ci, qui m’a littéralement subjuguée,

mais aussi des oeuvres très fortes sur de vieux sacs de jute (sacs à voiles, sacs de terre-neuvas ? Eh non, sacs de café !),

et tout plein de peintures belles et étranges qui, c’est certain, ne créeront pas de consensus mou, et c’est tant mieux !

Bon, bien sûr, je ne vous ai pas mis toutes les photos !

Le plus simple serait que vous veniez admirer tout cela par vous-mêmes, et pourquoi ne pas échanger vos impressions samedi soir dès 19h, un verre à la main ? Il y aura peut-être du roulis en fin de soirée pour certains, qui auront (on va dire ça) trop fixé les sirènes androgynes, princesses écuyères, marins tatoués et … artichauts bretons de cette fabuleuse saltimbanque qu’est Aurélia Grandin !

Aurélia à l'honneur

Oui, je suis une tâche en informatique, et ce scan est loin d’être au top. Je voulais quand même partager avec vous cet article élogieux paru dans le Télérama reçu à midi. Les copines qui ont chroniqué l’album ne s’y sont pas trompées : Aurélia Grandin est bourrée de talent, vous pourrez en juger par vous mêmes dès le 26 septembre prochain à la galerie 🙂 !