L’humour, c’est drôle (ou Marina, je vous aime)
Ceux et celles qui suivent le blog comprendront : vous désespériez de me voir améliorer mon niveau en photographie ? Ce sera un jeu d’enfant dorénavant avec mon super appareil-photo à eau, génialissime cadeau d’une non moins géniale Marina qui se reconnaîtra 😀 !
La « génialissime » en question a bien failli exploser votre meuble à vitrine avec un pot de cornichons cet après-midi. « Super génialissime » ça aussi.
Un pot de cornichons… J’en fais une de belle de cornichon, je vous assure…
Et voilà ! On ne peut pas s’absenter 5 mn sans qu’il se passe une catastrophe 😀 ! J’espère que Véro vous a donné le fouet (au moins !) et vous rappelle que votre phrase comporte le mot « failli », qui signifie que ça ne s’est pas passé, en vrai. Rien n’est cassé, ni la vitrine, ni vos cornichons (en parlant de cornichons, je rebondis sur notre échange précédent à base de poils et de moustaches pour faire un arrêt sur images 12 secondes : ma soeur et moi, enfants, armées de brosses à dents dans la cuisine du grand-père normand, en train de brosser les cornichons tout frais pour leur enlever leurs POILS, on en revient toujours à ça, finalement), donc respirez par le ventre, TOUT VA BIEN ! Je vous bise dominicalement.
1h22. Du matin… Faut que j’arrête de me confondre avec une chauve-souris. Je ne prends le temps de revenir vers vous que trois plombes après votre réponse. Ça me réussit pas des masses les envolées et autres horaires nocturnes.
Quant à ma réponse… Écoutez si je me trouve bizarre à des moments, vous êtes pas mal de votre côté. Vous, gamine, dans la cuisine du pépé à « épiler » des cornichons… Ça secoue. Ça a le mérite d’être drôle en tout cas.
Allez, sur ce, je vous quitte. C’est mignon de jouer les roussettes, mais ça fatigue. Bonne nuit.